Nantes. La société Ozzak lance un jeu spécial cinéma : "James Dîne" !

15 août 2023 à 14h59 - Modifié : 16 août 2023 à 10h39 par Dolorès CHARLES

Les cofondateurs du jeu "James Dîne"
Crédit : Dolorès Charles

Pour égayer vos dîners ou vos apéros, un jeu de société dédié au cinéma (et à l'amusement) vient de sortir. Conçu par la société de Nantes, Ozzak, le jeu s'appelle "James Dîne" et il est en vente au prix de 25 euros.

"James Dîne !" C’est le jeu qui va dynamiser vos apéros en famille ou entre amis, surtout si vous aimez le cinéma ! A Nantes, les co-fondateurs de la société Ozzak, qui permet de bénéficier de places de cinéma à tarif préférentiel, lance aujourd’hui son premier jeu de société autour du cinéma, et il s’appelle "James Dîne", cela se prononce donc comme l’acteur américain, mais cela ne s’écrit pas pareil... Un jeu simple pour mettre l’ambiance, avec 600 questions et trois thématiques. Un jeu pour les 15 ans et plus, histoire d’avoir quelques références dans le septième art.

"Un jeu qui n’est pas compliqué à comprendre et qui se joue très facilement et rapidement"

Sylvain Mante, co-fondateur de Ozzak, la première plateforme de ventes privilèges de places de cinéma. Ce jeu "est né de l'envie de créer un jeu de société qui n'était pas cinéphile, comme on retrouve dans les magasins de jeux. On a beaucoup de quizz où il faut trouver quel réalisateur a fait tel film. Nous voulions quelque chose qui nous ressemble, qui soit fun, complètement "barjo" sur le cinéma et jouable par tout le monde, même si on n'a pas vu Titanic, on connaît l'histoire de Titanic ! Cela s'adresse à tout le monde et cela se veut comme étant un jeu d'ambiance, avec lequel on joue entre amis ou en famille à l'apéro, sur la plage ou avant une sortie au cinéma. Mais c'est vraiment un jeu qui n’est pas compliqué à comprendre et qui se joue très facilement et rapidement."

Sylvain Mante, co-fondateur de Ozzak
Crédit : Dolorès Charles

C'est l'histoire d'un mec...

Lisa Lebreton, social media manager chez Ozzak, et cofondatrice du jeu, revient sur les trois thématiques : "la première s'appelle "C'est l'histoire d'un mec" : des synopsis racontés d'une façon un peu drôle, ludique et fun. La deuxième thématique, c'est "Le Si, Si c’est lui !" et ça se joue à plusieurs autour d'une table... dans l'esprit de "Qui pourrait" mais version cinéma, avec des références de films, et la troisième thématique, c'est la thématique «"Après Trois pintes !" avec de titres de films inversés… cela peut être assez marrant de retrouver les bons titres de films..."

Jouons !

"C'est l'histoire d'amour entre le pastis, le soleil, les vacances et un slibard… C'est camping ! Prenons une autre carte "Après trois pintes !" La petite douche ? La grande … Vadrouille, non ! Le grand bain ! (rires) !

Lisa Lebreton, co-fondatrice du jeu chez Ozzak
Crédit : Dolorès Charles

Le jeu a été vendu à plus de 300 exemplaires, via la plateforme Ulule, sur laquelle les dirigeants d’Ozzak ont récolté 4 500 euros pour le produire en Union Européenne. Le jeu est en vente dans les cinémas partenaires de la plateforme Ozzak, de Nantes à Rennes, en passant par Plougastel, et vous le retrouvez aussi sur le site https://jamesdine.ozzak.fr/ au prix de 24,99 euros.

 

Le jeu "James Dîne"
Crédit : Ozzak

Quel est le bilan de la plateforme ?

Nous vous avions parlé de la plateforme Ozzak à la radio, il y a environ un an. Sylvain Mante dresse un premier bilan : "quand on s'est lancé il y a un an, on avait un ou deux cinémas dans la région. On a commencé à Nantes et on est allé à Rennes. Aujourd'hui, on a 42 cinémas partenaires sur toute la France, un peu éparpillés sur toutes les régions et le nombre de places est croissant de mois en mois. On a fait un super bel été avec Barbie et Oppenheimer. Forcément, la fréquentation d’Ozzac est en lien avec les films qui sortent. Il faut qu'on arrive à motiver les spectateurs à revenir en salles. Nous, on y arrive via le prix et notre plateforme digitalisée, mais les films, bien entendu, sont le premier facteur de sortie des spectateurs."

Sylvain Mante, co-fondateur d'Ozzak
Crédit : Dolorès Charles